Le Pays de Brest et ses EPCI

Argument
pays-brest
Pays de Brest et ses EPCI

Le Pays de Brest forme un bassin de vie de 420 000 habitants. Il regroupe Brest métropole et les communautés de communes du Pays d'Iroise, du Pays des Abers, de Lesneven Côte des Légendes, du Pays de Landerneau-Daoulas, de la Presqu’île de Crozon - Aulne Maritime et de Pleyben-Châteaulin-Porzay, réunies dans le pôle métropolitain du Pays de Brest.

Depuis 2002, l’ADEUPa accompagne l’ensemble des intercommunalités et le pays de Brest, tant dans leurs réflexions en matière de développement économique que d’aménagement, de gestion du foncier, de planification stratégique (Scot, PLUi, PLH…) : 

2009, un bilan nuancé

La fréquentation touristique dans le Pays de Brest s’avère comparable aux deux années précédentes. Le grand perdant de l’année est le mois de juillet qui a souffert d’une pluviométrie record et de l’absence de manifestations majeures, contrairement à 2008. L’avant-saison a accueilli des visiteurs plus nombreux, bénéficiant d’un calendrier propice à la réalisation de séjours et de conditions climatiques clémentes. Pour certains professionnels, l’affluence du mois d’août a également progressé.

Le logement neuf en 2009 : une production portée par l'agglomération brestoise et les aides publiques

Le logement neuf en 2009 : une production portée par l'agglomération brestoise et les aides publiques
Le ralentissement de l’activité de la construction neuve, observé dès 2008, se poursuit en 2009 dans le Pays de Brest. 2 300 logements ont été mis en chantier au cours de l'année, soit 14 % de moins qu’en 2008. En revanche, les autorisations ne subissent plus de baisse et se stabilisent autour de 2 700 logements. Le ralentissement de l’activité est plus marqué à l’échelle du département : les mises en chantiers et les autorisations diminuent de 25 %.

Immobilier de bureaux - chiffres clés en 2009 sur Brest métropole océane

En 2009, l’impact de la crise économique s’est fait ressentir par les partenaires privés et publics avec un recul de l’activité « immobilier de bureaux ». Celui-ci se traduit par une baisse des surfaces placées et une hausse importante de l’offre disponible. L’agglomération brestoise est en attente d’une conjoncture plus favorable qui permettrait le placement de surfaces récemment construites ou le lancement de nouveaux programmes situés principalement en périphérie.