HABITAT

Terme de regroupement

Un observatoire des copropriétés enrichi pour mieux cibler les actions de Brest métropole

Le parc de logements en copropriété est un maillon essentiel de l’offre de logements de la métropole brestoise. Il représente 40 % des logements, concentrés dans la ville de Brest et dans les centres des autres communes. Via l’observatoire des copropriétés qu’elle réalise, l’ADEUPa propose un référentiel opérationnel qui permet de cibler les interventions pour l’amélioration du parc.

Brest métropole : le parc locatif privé et ses niveaux de loyers en 2017

En 2017, le loyer médian des logements locatifs privés de la métropole s’élève à 8,3 €/m² de surface habitable. Le marché brestois se caractérise par ses loyers abordables, les moins élevés de l’ensemble des métropoles françaises, par ailleurs stables. Sous l’effet de la construction neuve, le parc locatif brestois s’est fortement développé au cours des 10 dernières années. Ce développement ne s’est pas fait au détriment du parc existant, il est venu répondre à un réel besoin en nouveaux logements en particulier locatifs. 
 

La vacance des logements dans Morlaix Communauté 

Dans ses projets (de territoire, PLUi-H…), Morlaix Communauté s’est donnée pour objectif de mobiliser davantage le parc existant aujourd’hui inoccupé pour répondre aux besoins en logements et réduire l’étalement urbain. En appui à cette orientation, la présente analyse apporte des éléments de diagnostic de la vacance résidentielle dans la communauté d’agglomération ainsi que des pistes d’action envisageables.
 

Habitat à Saint-Brieuc Armor agglomération : une nette reprise de l’activité en 2017-2018

Depuis le 1er janvier 2017, l’agglomération regroupe 32 communes, soit un parc de 80 000 logements. Pour définir sa politique de l’habitat, Saint-Brieuc Armor Agglomération a engagé l’élaboration de son nouveau Programme Local de l’Habitat.
La présente note s’inscrit dans le dispositif d’Observation de l’Habitat et propose une analyse des évolutions récentes relatives à la dynamique de production neuve, à la promotion immobilière, au marché des biens d’occasion et au logement social.

2017-2018 : une année faste, des perspectives incertaines pour l'habitat en Finistère

La production neuve, la promotion immobilière et les ventes de biens d’occasions ont atteint des niveaux élevés en 2017 et 2018. La bonne santé du marché finistérien en 2017 est à analyser à l’aune du contexte national et de l’anticipation d’évolutions fiscales : taux d’intérêt encore bas pour les ménages accédant, prêt à taux zéro toujours présent dans l’ancien et anticipation par les investisseurs de la fin du Pinel en zone B2. 2018 apparaît plus raisonnée et le futur dépendra de l’évolution de la situation économique, du marché de l’emploi, mais surtout de l’évolution des aides.

Le parc HLM finistérien remplit-il son rôle ?

Le Finistère compte 46 000 logements sociaux, soit 11 % du parc de logements. De par leurs revenus, 230 000 ménages finistériens sont éligibles au logement social (56 % du total des ménages). Or, 190 200 vivent dans le parc privé (46 %). 
Pourquoi près d’un finistérien sur deux pouvant prétendre à un logement social se loge-t-il dans le parc privé ? Quelle est la demande de logement social et comment les attributions y répondent-elles ?

Les territoires du vivant

Comment continuer d’habiter ce monde étrange, accéléré, qui préfère le jetable au durable, le virtuel au réel, la nouveauté à la pérennité ? L’architecture peut-elle encore faire sens, à l’heure où se multiplient les villes aseptisées, et où nous vivons toujours plus déconnectés des milieux qui nous accueillent ? Dans ce contexte, envisager une « réhabitation biorégionale » de la Terre se veut un geste critique et salvateur à la fois.

La vacance des logements à Brest métropole : quelle évolution récente?

L’analyse des données Insee met en évidence un taux de vacance des logements de 6,5 % dans la métropole brestoise, en baisse sur la période 2010  - 2015. Une analyse complémentaire du fichier des locaux vacants, indique que la vacance de longue durée (supérieure à 2 ans) est stable. Ces indicateurs illustrent l’attractivité de la métropole et la faible corrélation entre la production de logements et la vacance dans le parc existant. Cette dernière s’explique davantage par les qualités intrinsèques des logements.

Le logement social dans le Pays de Brest

Le Pays de Brest comptait plus de 24 000 logements sociaux au 1 er janvier 2017, soit plus de la moitié du parc finistérien. La réponse à la demande est fluide, la tension s’élève en moyenne à 2,7 demandes pour une attribution et 70 % des demandeurs externes obtiennent satisfaction dans les 6 mois. Les ressources des demandeurs sont modestes et près des ¾ d’entre eux sont éligibles au parc aux loyers les plus bas. Les notes d’analyse qui suivent permettent de faire un point pour chacun des EPCI du Pays de Brest.

Où produire des logements ?

Où faut-il produire des logements ? Dans les communes qui gagnent des habitants ? Et dans les communes qui en perdent ? Cette vidéo décrypte le lien entre l’évolution du nombre d’habitants d’une commune et le besoin de logements, en présentant l’élément déterminant qu’est l’évolution du nombre de ménages.