HABITAT

Terme de regroupement

Les territoires du vivant

Comment continuer d’habiter ce monde étrange, accéléré, qui préfère le jetable au durable, le virtuel au réel, la nouveauté à la pérennité ? L’architecture peut-elle encore faire sens, à l’heure où se multiplient les villes aseptisées, et où nous vivons toujours plus déconnectés des milieux qui nous accueillent ? Dans ce contexte, envisager une « réhabitation biorégionale » de la Terre se veut un geste critique et salvateur à la fois.

La vacance des logements à Brest métropole : quelle évolution récente?

L’analyse des données Insee met en évidence un taux de vacance des logements de 6,5 % dans la métropole brestoise, en baisse sur la période 2010  - 2015. Une analyse complémentaire du fichier des locaux vacants, indique que la vacance de longue durée (supérieure à 2 ans) est stable. Ces indicateurs illustrent l’attractivité de la métropole et la faible corrélation entre la production de logements et la vacance dans le parc existant. Cette dernière s’explique davantage par les qualités intrinsèques des logements.

Le logement social dans le Pays de Brest

Le Pays de Brest comptait plus de 24 000 logements sociaux au 1 er janvier 2017, soit plus de la moitié du parc finistérien. La réponse à la demande est fluide, la tension s’élève en moyenne à 2,7 demandes pour une attribution et 70 % des demandeurs externes obtiennent satisfaction dans les 6 mois. Les ressources des demandeurs sont modestes et près des ¾ d’entre eux sont éligibles au parc aux loyers les plus bas. Les notes d’analyse qui suivent permettent de faire un point pour chacun des EPCI du Pays de Brest.

Où produire des logements ?

Où faut-il produire des logements ? Dans les communes qui gagnent des habitants ? Et dans les communes qui en perdent ? Cette vidéo décrypte le lien entre l’évolution du nombre d’habitants d’une commune et le besoin de logements, en présentant l’élément déterminant qu’est l’évolution du nombre de ménages.


 

Habitat en Finistère : mobiliser le parc existant pour répondre aux besoins en logement (2018)

Le parc de logements existant dans le Finistère serait, sur le plan quantitatif, en mesure de répondre aux besoins des familles en 2040, d’après une estimation récente de l’ADEUPa. Cette analyse, mise en regard de la production annuelle de logements, interroge les politiques locales de l'habitat.

Les loyers du parc privé dans la métropole brestoise

En 2016, le loyer médian des logements locatifs privés de la métropole s’élève à  8,1 € du m² de surface habitable. Parmi les métropoles françaises, Brest métropole présente les niveaux de loyers les plus abordables. Les prix de l'immobilier d'occasion étant également accessibles, le marché brestois offre une bonne rentabilité aux investisseurs dans l'ancien.

Habitat en Finistère : 2016-2017, une dynamique de reprise

Après une année 2016 en léger repli, l’année 2017 s’est révélée active du point de vue de la construction neuve. Les annonces récentes du gouvernement en matière de Pinel, de PTZ mais également la baisse prévue des APL dans le logement social, font peser des incertitudes sur ce segment de marché en 2018.
L’occasion, qui constitue le cœur du marché du département a été particulièrement dynamique au cours de l’année écoulée marquée par une relative stabilité des prix et une hausse du volume de transactions.
 

Habitat en Finistère : mobiliser le parc existant pour satisfaire les besoins en logement (2017)

L’occasion constitue durablement le cœur du marché immobilier finistérien. De nombreux paramètres militent en faveur d’une mobilisation encore accrue de ce parc existant. En effet cette mobilisation répond à des enjeux environnementaux et économiques, mais permettra aussi de satisfaire le besoin quantitatif de logements adaptés aux familles avec enfants dont le nombre devrait se stabiliser étant données les évolutions démographiques à l’œuvre sur le territoire. Des  questions majeures se posent désormais :  Quel  type de logements produire à l’avenir ?

Le marché de l'occasion de Brest métropole

En 2017, le marché de l'occasion de Brest métropole s'est montré dynamique. Les transactions ont été plus nombreuses (+ 20%), dans le même temps, le prix des biens vendus demeurait stable. Les conditions particulièrement avantageuses en matière de crédit et la confiance en hausse des ménages expliquent cette bonne tenue du marché. Le taux de rendement des investissements sur le parc existant demeurent particulièrement attractifs.