Qui vient s'installer dans l'espace métropolitain Loire-Bretagne? Qui vient s'installer dans l'espace métropolitain Loire-Bretagne? Les nouveaux arrivants représentent 7 % de la population actuelle. En cinq ans, les régions Bretagne et Pays de la Loire ont accueilli plus de 450 000 personnes, soit 7 % de la population actuelle. Les cinq aires urbaines de Nantes, Rennes, Angers, Brest et Saint-Nazaire ont concentré près de quatre arrivées sur dix, alors qu’elles ne représentent qu’un tiers de la population des deux régions. En savoir plus sur Qui vient s'installer dans l'espace métropolitain Loire-Bretagne?
1er semestre 2011 : des signaux contradictoires Dans un contexte économique mondial tendu et à un moment où la crise des dettes publiques affecte les perspectives de la zone euro, les indicateurs du Pays de Brest émettent des signaux contradictoires. L’activité des entreprises a continué de progresser, mais certains secteurs sont pénalisés par un climat des affaires dégradé. Dans l’industrie notamment, les carnets de commande demeurent insuffisamment garnis. Sur le marché du travail, le bilan du 1er semestre s’inscrit en demi-teinte… En savoir plus sur 1er semestre 2011 : des signaux contradictoires
L’économie présentielle : une croissance continue depuis 1982 (septembre 2011) Dans l’aire urbaine de Brest, les activités destinées à produire des biens et services pour la population résidente et de passage représentent 72% de l’emploi total. Cette part est plus importante qu’au niveau national… En savoir plus sur L’économie présentielle : une croissance continue depuis 1982 (septembre 2011)
Immobilier d’entreprise : chiffres-clés 2010 Un retour de confiance des banques et des investisseurs associé à un effet « rattrapage » des projets suspendus en 2009 permet à l’activité « immobilier de bureaux » d’afficher des résultats exceptionnels dans l’agglomération brestoise en 2010. Après le port de commerce il y a peu, les zones d’activité du Nord-est de l’agglomération suscitent depuis 2008 l’intérêt de nombreuses entreprises. Ce numéro de l’observatoire est aussi l’occasion d’étendre l’étude au marché des locaux d’activité dans le Pays de Brest. En savoir plus sur Immobilier d’entreprise : chiffres-clés 2010
Retombées économiques du chantier du tramway Retombées économiques du chantier du tramway En savoir plus sur Retombées économiques du chantier du tramway
2e semestre 2010 : timide amélioration La situation se redresse peu à peu dans la zone d’emploi de Brest. Les principaux secteurs d’activité ont enregistré une croissance de leur chiffre d’affaires au 2nd semestre et un redémarrage de l’activité à l’export. Néanmoins, le climat demeure incertain et le renchérissement du prix des matières premières et de l’énergie ne fait qu’accentuer l’instabilité de l’environnement économique. Cette situation d’incertitude peut expliquer l’évolution en dents de scie du marché du travail. En savoir plus sur 2e semestre 2010 : timide amélioration
1999-2006 : une forte évolution des cadres des fonctions métropolitaines (Mars 2011) Entre 1999 et 2006 le nombre des cadres des fonctions métropolitaines a fortement progressé dans l’aire urbaine brestoise. En savoir plus sur 1999-2006 : une forte évolution des cadres des fonctions métropolitaines (Mars 2011)
Le foncier économique en 2008-2009 En moyenne, 51 ha de terrains à usage agricole sont échangés chaque année dans le Pays de Brest pour être à terme transformés en espaces dédiés à l’accueil d’activités économiques ou d’équipements collectifs. Ces surfaces doivent permettre de répondre à la demande des entreprises à moyen et long terme et d’éviter des ruptures dans l’offre foncière. En savoir plus sur Le foncier économique en 2008-2009
Évolution de l’emploi salarié privé hors intérim (Janvier 2011) Entre 2007 et 2009, la crise économique a impacté l’emploi salarié privé dans les zones d’emploi bretonnes (source : Pôle emploi). En savoir plus sur Évolution de l’emploi salarié privé hors intérim (Janvier 2011)
Les marchés fonciers dans le Finistère Les marchés fonciers dans le finistère Avec plus de 6 600 ha échangés par an, les marchés fonciers finistériens représentent près de 1 % de la superficie du département. Les terres agricoles constituent les trois-quarts des surfaces échangées mais seulement 9 % du montant des transactions (257 millions d’euros annuels). L’autre quart des terrains vendus est composé de terres vouées à l’urbanisation, les plus convoitées et enfin de terrains aménagés pour l’habitat ou l’activité. En savoir plus sur Les marchés fonciers dans le Finistère