FINISTERE

Bilan de la saison 2010 et supplément sur les résidences secondaires dans le Finistère

En 2010, les principales tendances qui se dessinent dans le Pays de Brest sont une bonne fréquentation touristique au printemps, un démarrage de la saison tardif en juillet, des mois d’août et de septembre satisfaisants. Comme
au niveau régional, les visiteurs étrangers semblent avoir été plus nombreux que l’an passé. L’activité du tourisme d’affaires se maintient à un bon niveau : le nombre de congrès est stable et les hôteliers ont enregistré une progression des nuitées d’affaires.
 

Observatoire de l'habitat du Finistère N° 2 (2010)

L’Observatoire de l’habitat en Finistère, coprésidé par le Préfet du Finistère et le Président du Conseil Général, a présenté le 4 janvier 2011 l’état de la situation de l’habitat en 2009 , réalisé par l’ADEUPa. Le document parcourt les marchés de l’habitat, de la construction neuve, de l’occasion, et la situation du logement locatif social. La situation de l’année 2009 est mise en perspective avec les évolutions de la décennie.

Les conditions de vie des étudiants dans le Finistère inscrits à l’UBO et à l’ENIB

Dans le cadre de l’Observatoire de la vie universitaire, une première étude réalisée pendant l’année universitaire 2009/2010 porte sur les conditions de vie des étudiants inscrits à l’UBO et à l’École nationale d’ingénieurs de Brest.
Les étudiants ont été enquêtés et ont pu s’exprimer sur des thématiques au cœur de leur vie quotidienne : le logement, les déplacements, le budget, les activités rémunérées, les loisirs, les projets et perspectives professionnelles.

Consommation foncière dans le Finistère

Consommation foncière dans le Finistère

Occupant plus de 8 % du territoire départemental, les surfaces artificialisées progressent très rapidement dans le Finistère : elles ont quasiment doublé en 20 ans, affichant ainsi un taux de croissance de 96 %, équivalent à celui de l’Ille et Vilaine. Pendant la même période, la population finistérienne n’augmentait que de 10 %... Près de 1 000 ha. ont ainsi été utilisés annuellement pour la croissance urbaine entre 1984 et 2005, essentiellement au détriment de l’espace agricole.