Mobilité et société dispersée. Une approche sociologique Jusque dans les années 1950, la vie quotidienne était relativement simple : on travaillait à proximité de son domicile ; on se déplaçait essentiellement à pied ou en vélo. La voiture n’était encore l’apanage que d’une minorité. On connaît la suite, avec l’essor des moyens de transport et de télécommunications. En parlant de "société dispersée", l’auteur ne fait pas mystère de ses affinités avec la "société liquide" d’un Zygmunt Bauman, la société de flux d’un Arjun Appadurai et de bien d’autres analyses censées prendre acte de l’ère de la mobilité généralisée En savoir plus sur Mobilité et société dispersée. Une approche sociologique