DOCQUOIS, Barbara

Flash démo - Population et population active dans l’Ouest breton : deux évolutions parallèles ?

L’Insee a réactualisé récemment les projections de population et de population active. D’ici 2070, un tiers des régions françaises perdraient des habitants et la population active diminuerait à partir de 2040.
Qu’en serait-il dans l’Ouest Breton ? Ces sept Flash Démo présentent les projections démographiques à l’horizon 2050 des territoires d’intervention de l’ADEUPa :

Portrait social de Brest métropole (2024)

Dans le cadre de son observatoire social, l’Adeupa présente un portrait actualisé du territoire de Brest métropole. Réalisé à partir des données de l’Insee, il donne à voir la dynamique du territoire en termes de population, d’habitat, d’activité et d’emploi, de revenus, d’éducation, de déplacements… Par un jeu de fiches, il permet de lire ces dynamiques à différentes échelles : les 7 grands quartiers de Brest, les 8 communes et la métropole :

Webinaire : Présentation des projections de population et de population active dans l'Ouest breton

L’Adeupa organise un webinaire de présentation des projections de population et de population active dans l'Ouest breton.

Programme :

9h00-9h10 : Les projections, de quoi parle-t-on ?
9h10-9h20 : Les perspectives dans l'Ouest breton
9h20-9h30 : Quel impact sur un marché de l'emploi en tension ?
9h30-9h45 : Réponses aux questions

Une hausse inévitable des décès dans l'Ouest breton

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la France a connu un rebond de la natalité. Le nombre de naissances est resté très élevé entre 1946 et le milieu des années 1970, inscrivant ainsi le baby-boom comme un évènement démographique majeur en France. En 2020, les baby-boomers avaient entre 45 et 74 ans. Alors qu’une partie de cette génération est toujours active, une autre a atteint l’âge de la retraite et les premiers nés sont aujourd’hui aux portes du grand âge.

Comment répondre aux besoins en logements dans leur diversité ?

Le marché immobilier finistérien connait une tension grandissante depuis plusieurs années : hausse des prix du foncier, des coûts de construction, des prix dans l’ancien, du nombre de demandeurs d’un logement social… Les jeunes ménages peinent à commencer ou poursuivre leur parcours résidentiel et les moins aisés risquent de se retrouver captifs de leur logement. À cela s’ajoute l’indispensable prise en compte du vieillissement de la population, qui génère des besoins spécifiques en matière d’habitat et de logement.